Quel comportement adopter face aux schémas ?

CCIFP, 8 rue Widok, Varsovie
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Langue(s) de l'événement
polonais

Tarif : gratuit

Non ouvert

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Rendre difficile nos propres actions, les exécuter ?  moitié, les remettre ?  plus tard ou ne pas les réaliser du tout – ou le comportement contraire  : le perfectionnisme, l’addiction au travail, l’aspiration ?  avoir les succès ?  tout prix, au détriment p. ex. des relations plus rapprochées, au détriment de repos.

Est-ce que l’un de ces comportements vous semble familier? Ce sont les stratégies de comportement ?  prendre ?  l’égard de l’un des schémas. Et il y en a beaucoup plus. Le créateur de la théorie des schémas, psychologue, psychothérapeute, Jeffrey Young, en a identifié 18.

Selon la définition de Jeffrey Young, le schéma est un modèle général, universel, composé de souvenirs, d’émotions, de convictions et d’épreuves corporelles, concernant l’individu et ses relations avec les autres, développé pendant toute la vie, et en grande mesure, dysfonctionnel.

Les schémas sont en général issus de notre enfance et de la période d’adolescence. Certains peuvent, dans une grande mesure  :

  • nous empêcher de développer notre potentiel,
  • bloquer la réalisation des objectifs que nous souhaiterions réaliser,
  • compliquer nos relations avec les autres,
  • biaiser la communication etc.

J’appelle ces schémas de  ?  pièges vitaux   ?. Nous tombons dans les pièges, que nous nous préparons nous-mêmes inconsciemment. Les façons dont nous pensons de nous et du monde, dont nous ressentons les choses ou dont nous nous comportons, nous les considérons comme traits de notre personnalité, de notre caractère. Cependant, dans une grande mesure, elles sont l’effet de nos schémas. Ce que nous observons consciemment, ce sont les résultats du fait de tomber dans le piège du schéma, sous forme de différents comportements problématiques, tels que p. ex. faire les choses toujours au dernier moment, éviter des relations plus rapprochées, ou avoir des problèmes avec la prise des décisions. Nous éprouvons les conséquences de ces comportements, comme p. ex. les relations interpersonnelles limitées et le sentiment de solitude, les problèmes de promotion et de développement de la carrière, malgré les efforts déployés et les compétences professionnelles appropriées.

De tels comportements et leurs conséquences nous dérangent dans la vie, sont source d’inconfort, et parfois d’une souffrance considérable. Cela ne veut pas dire que nous y sommes condamnés. Pour la plupart, ce ne sont pas des traits permanents, mais uniquement des problèmes issus des schémas. Nous pouvons donc influer sur la façon dont ils tiennent place dans notre vie. Pour pouvoir les modifier, il est très important d’identifier les schémas et d’entreprendre des mesures visant ?  les changer.

En général, le travail sur les schémas est de longue haleine et demande un certain engagement. Ceci se fait dans le cadre des formations, du coaching ou de thérapie. Déj?  le fait de savoir qu’il existe quelque chose comme schéma, qu’il existe des possibilités de les identifier et de les combattre est pour beaucoup de personnes libérateur et ouvrant de nouvelles perspectives.

Lors de notre rencontre, je voudrais vous en parler, regarder de près certains d’entre eux, et ensuite vous inviter ?  la discussion, ?  savoir, comment les différents schémas peuvent influencer notre vie, surtout sur le plan professionnel. Je souhaiterais aussi vous présenter des stratégies du travail avec les schémas.

Intervenante :

Natalia Nowina-Witkowska – psychologue, psychothérapeute. Pendant 10 ans, elle a travaillé dans les Relations Publiques, occupant des postes ?  responsabilité dans les agences internationales de RP et dans une société pharmaceutique. Actuellement, elle gère un cabinet psychothérapeutique dont elle est propriétaire et où elle réalise des thérapies de type cognitive-béhaviorale, le coaching et les formations en développement personnel.

Elle maîtrise la langue anglaise et française. Lorsqu’elle a du temps libre, elle peint et joue au tennis. Elle a un fils de quinze ans, Antek (Antoine).

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